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L'indemnisation des accidents de la vie, c'est souvent possible

Des destins bouleversés

Gabrielle, 72 ans, descendait lentement l’escalier de son immeuble. Une marche encore glissante après son nettoyage l’a fait tomber d’un demi étage. Fracture du col du fémur, entre autres.

Paul, 40 ans, bricolait une étagère chez lui, et s’est gravement blessé avec une scie électrique peut-être mal sécurisée.

Sophie, 8 ans, a chuté d’un toboggan en mauvais état dans un jardin pendant une sortie scolaire, se fracturant le poignet.

Élise, jeune maman, a été grièvement brûlée par l’explosion d’un autocuiseur défectueux.

Julien, lors d’une balade à vélo, a été heurté par un portail automatique déréglé, la veille de son concours pour devenir pompier professionnel

Claire, en vacances, a été blessée dans un parc d’attractions par une attraction mal sécurisée.

Il est probable que vous pourriez ajouter votre propre histoire à celles qui précèdent.

Un problème majeur de santé publique

En France, les accidents de la vie touchent chaque année plus de 11 millions de personnes, dont 4,5 millions nécessitent un passage aux urgences et plusieurs centaines de milliers sont hospitalisées. Ces accidents, souvent banalisés, sont responsables de plus de 20 000 décès par an, soit six fois plus que les accidents de la route.
Ces drames bouleversent des vies, créant des handicaps physiques, psychologiques, et des pertes financières importantes. Ils sont pour nous différents d’autres types d’accidents à qui nous réservons des espaces distincts : les accidents et erreurs médicales, les accidents de la route et la plupart des accidents sportifs.

Pourquoi un avocat spécialisé est indispensable ?

Parce qu’en face de vous, vous avez une compagnie d’assurance.
Son objectif ? Vous indemniser à minima, voire refuser toute indemnisation. Vous le savez sûrement déjà.
Naviguer seul face à des assureurs, souvent professionnels de la contestation de vos droits, est une prise de risques à ne pas prendre à un moment où vous êtes déja fragilisé.
Le cabinet Viandier est exclusivement dédié à la défense des victimes afin d’obtenir la réparation de leurs préjudices. Découvrez :
  • Notre engagement : pourquoi mon équipe et moi-même nous investissons pleinement dans chaque cas
  • Pourquoi ce sont les assurances qui paient nos honoraires, et pas vous.
  • Si malheureusement, lié à un accident de la vie, des questions à propos du grand handicap ou de la perte d’un proche restent sans réponse, voyez les pages liées.

Des accidents différents, des parcours de victimes différents

Nous vous proposons de découvrir nos approches concernant des types d’accidents différents.

Les contrats d’assurances Garantissant les Accidents de la Vie (GAV)

“Maître, suis-je couvert par mon assurance ?”

C’est souvent la première question que me posent mes clients après un accident. La réponse n’est pas toujours simple. Ces assurances, souvent souscrites sans être lues, parfois en « annexe » d’un contrat habitation, présentent des garanties et exclusions qu’il faut connaître.
Les assurances Garantie Accidents de la Vie (GAV) couvrent des dommages corporels mais incluent des seuils d’incapacité souvent élevés (10 % ou plus) et des plafonds d’indemnisation. Certaines garanties excluent les activités « non déclarées » ou jugées « à risques », comme des sports particuliers ou des bricolages dangereux.

Aller vers l’indemnisation la plus complète

Une fois le processus enclenché et dans de bonnes mains, vous n’avez pour l’instant qu’un objectif : guérir, vous rétablir, retrouver peu à peu vos repères.

Plus tard, lorsque votre état de santé sera considéré comme consolidé — c’est-à-dire que les médecins jugeront vos blessures stabilisées — viendra le moment de chiffrer vos préjudices.

Ces préjudices concernent vos finances, votre situation matérielle et professionnelle :

  • Frais médicaux non remboursés, séances de rééducation spécialisées, médicaments coûteux

  • Pertes de revenus (salarié, indépendant, prime, bonus), baisse de clientèle

  • Aménagement du logement ou du véhicule (rampes, commandes adaptées, lit médicalisé)

  • Frais de garde d’enfants, d’aide ménagère, déplacements supplémentaires, hébergements lors de consultations

  • Appareillages, prothèses, matériel paramédical spécifique
Ces préjudices touchent votre intégrité physique, psychique et votre qualité de vie :

  • Douleurs physiques, souffrances morales, anxiété, insomnies

  • Incapacité à reprendre vos activités sportives, culturelles, sociales (préjudice d’agrément)

  • Préjudice esthétique (cicatrices, déformations), atteinte à l’image de soi

  • Préjudice sexuel, préjudice d’établissement (impossibilité de réaliser certains projets de vie, comme une carrière sportive ou un voyage au long cours)
Votre famille subit elle aussi les conséquences de l’accident :

  • Retentissement sur la vie conjugale, sur l’équilibre familial

  • Temps, argent et énergie que vos proches doivent investir pour vous aider (déplacements, hébergements, aides au quotidien)

  • Possible nécessité de réduire ou d’interrompre une activité professionnelle pour s’occuper de vous, causant des pertes de revenus supplémentaires au sein du foyer

L’enjeu des expertises

Pour chiffrer vos besoins, vous serez soumis à des expertises médicales. L’assureur missionne son propre expert, parfois enclin à minimiser vos séquelles. De mon côté, je mandaterai un médecin-conseil, indépendant, qui défendra une évaluation juste et complète de votre situation.
  • Analyse détaillée de votre dossier médical, examens cliniques, interrogatoire sur vos douleurs et limitations

  • Chiffrage précis de vos séquelles, de vos incapacités, de la nécessité d’aides techniques ou humaines

  • Présence d’un médecin-conseil choisi par mes soins, pour équilibrer la discussion face à l’expert de l’assureur

  • Rapport médical final servant de base aux négociations, voire à une décision judiciaire, garantissant une indemnisation à la hauteur de vos préjudices

Les provisions nous donnent du temps

Avant même que l’indemnisation finale ne soit fixée, je vais obtenir une provision ou plusieurs, des avances qui soulagent vos difficultés financières immédiates, couvre certains frais essentiels et vous évite de prendre une décision hâtive.
  • Une somme versée rapidement par l’assureur, avant la consolidation, fondée sur les éléments déjà établis (frais médicaux, arrêts de travail, soins urgents)
  •  
  • Un moyen de vous maintenir à flot, d’éviter l’endettement et de conserver votre indépendance tout en préparant une négociation équitable
  •  
  • Un levier pour refuser une indemnisation globale insuffisante et tenir bon, le temps que les médecins et les avocats finalisent l’évaluation de vos préjudices

Savoir finalement quel est son objectif

Si l’assureur rechigne à verser cette provision ou propose une somme dérisoire, je saisirai le juge des référés, une procédure d’urgence qui contraindra l’assureur à respecter ses obligations. Mais le plus souvent, quand les assurances font face à un avocat spécialisé, elles obéissent plus facilement à leurs propres règles. À chaque étape, vous bénéficiez d’un accompagnement sûr, d’informations claires et d’une défense ferme. Il est bon de comprendre au fil de l’avancée de votre dossier ce qui vous conviendra, et de se tenir à cet objectif s’il est possible et raisonnable.

Rencontrons-nous

Si vous êtes dans le moment où vous comprenez que le respect de vos droits à être indemnisé n’est pas du tout la préoccupation des assurances, alors il est aussi temps que nous nous parlions, et sans doute que nous nous rencontrions. Nous aurons chacun notre tâche : moi, vous obtenir réparation, et vous, vous réparer. Contact.

Quelques questions/réponses liées aux accidents de la vie

Oui, si le dommage résulte d’une faute d’un tiers (équipement défectueux, terrain mal entretenu) ou si vous êtes couvert par une assurance GAV. Vérifiez les exclusions liées aux sports « à risques » sur notre large espace dédié aux accidents sportifs.
Pas nécessairement. Une plainte est utile si un tiers est impliqué et a commis une infraction. Elle peut aussi accélérer l’expertise judiciaire et clarifier les responsabilités.
C’est le taux minimal de handicap (souvent 10 %) en dessous duquel aucune indemnisation n’est versée. Ce seuil est déterminé par une expertise médicale.
Oui. Un avocat spécialisé peut vous aider à engager une médiation ou une procédure judiciaire. Il analysera le contrat pour vérifier si l’assureur respecte ses obligations.

Si l’accident est lié à un défaut d’entretien (chaussée abîmée, sol glissant), la responsabilité du gestionnaire du lieu (mairie, propriétaire) peut être engagée. Un avocat vous aidera à prouver cette négligence.

Les garanties dépendent de votre contrat. Vérifiez la couverture territoriale de votre assurance. Un avocat peut également intervenir pour coordonner une indemnisation internationale.
Certaines exclusions peuvent être contestées si elles sont jugées abusives ou ambiguës. Consultez un avocat pour évaluer vos chances de succès.
Si plusieurs tiers sont impliqués, chaque responsabilité est évaluée proportionnellement. Cela complique l’indemnisation, mais un avocat spécialisé coordonnera les démarches pour maximiser vos droits.
Oui, mais c’est plus complexe. Les témoignages, certificats médicaux ultérieurs, et photos du lieu de l’accident peuvent aider à constituer un dossier solide malgré l’absence de preuve immédiate.
Votre avocat peut engager une procédure judiciaire pour prouver sa faute. Cela peut inclure une expertise judiciaire, des témoignages, et l’analyse des circonstances de l’accident.
  • Contester les refus ou offres insuffisantes.
  • Identifier les responsabilités et établir votre droit à indemnisation
  • Constituer un dossier solide, en collectant preuves et justificatifs.
  • Assister aux expertises médicales pour garantir une évaluation juste.
Le cabinet Viandier est exclusivement dédié à la défense des victimes afin d’obtenir la réparation de leurs préjudices. Découvrez :
  • Notre méthode : comment nous avançons ensemble dans votre dossier.
  • Notre engagement : pourquoi mon équipe et moi-même nous investissons pleinement dans chaque cas
  • Pourquoi ce sont les assurances qui paient nos honoraires, et pas vous.
  • Si malheureusement, lié à un accident de la vie, des questions à propos du grand handicap ou de la perte d’un proche restent sans réponse, voyez les pages liées.

Un père de famille blessé en réparant son toit s’est vu refuser une indemnisation parce que l’acte était jugé « inadapté à ses compétences ».

Un contrat peut exclure une chute survenue lors d’un sport non pratiqué en compétition ou hors des horaires prévus par une organisation officielle.
De telles exclusions, souvent écrites en petits caractères, peuvent laisser les victimes démunies.

Si un tiers est fautif, son assurance responsabilité civile prend en charge votre indemnisation, mais prouver sa faute peut être long. Sans tiers, votre indemnisation dépend de votre contrat personnel (comme une Garantie Accidents de la Vie), souvent limité par des seuils et plafonds. Dans les deux cas, un avocat vous aide à maximiser vos droits.

Parlons-nous

D’expérience c’est le moyen le plus efficace pour comprendre comment vous aider.
Tant que nous ne sommes pas liés par une convention, c’est gratuit et sans engagement.